Le management de l’entreprise représente un domaine très vague, d’où l’on peut extraire plusieurs branches. Mais certainement, le fait d’évoquer le mot manager nous fait penser directement à la gestion des ressources, à titre de la ressource humaine.
En effet, ce type de management comme tout autre s’appuie 2 compétences professionnelles, on les appelle : HARD et SOFT SKILLS. La première, elle fait référence au savoir, et au savoir faire du manager. Par contre, la deuxième qui est SOFT, s’intéresse au savoir être et aux qualités personnelles de la personne.
Littéralement “compétences douces”, mais souvent traduites par “compétences comportementales, les SOFT SKILLS sont les plus considérablement appréciées pour un poste de lead, puisqu’on peut voir directement leur reflet sur l’ambiance de travail, et sur l’esprit des travailleurs. Ces derniers lorsqu’ils trouvent leur inspiration en la personne qui les dirige, ils font preuve de motivation, et beaucoup plus d’engagement, pour une performance meilleure de l’entreprise.
Cependant, il est à prendre en conscience, que l’on risque de ne pas toucher à cette finalité, celle d’assumer l’esprit du leader, en particulier, lorsqu’on est limité de certaines circonstances liées à :
Les managers doivent adapter leur style de leadership à la taille de l’entreprise et à la complexité de ses activités. En effet, dans une grande entreprise, le manager doit gérer des équipes plus importantes et souvent réparties sur plusieurs sites, ce qui crée de la distance, avec elle diminue l’influence du manager et le défilement de ses directifs.
Particulièrement, lorsque les contraintes de financement sont importantes, le manager est tenu adopter un style de leadership plus directif et plus orienté vers la performance à court terme. Il doit prendre des décisions difficiles. En revanche, les collaborateurs sont susceptibles de perdre leur motivation, et cela peut aller jusqu’à quitter leur emploi, en absence d’une communication qui les console.
Si les contraintes de gestion de temps pour l’entreprise sont trop importantes, cela peut affecter négativement le leadership du manager, en le poussant à adopter un style de gestion qui ne tient pas suffisamment compte des besoins de son équipe ; A titre d’exemple, lorsque les managers sont sous pression pour respecter des délais stricts et des objectifs ambitieux. Dans ce cas, le responsable peut être enclin à prendre des décisions précipitées, à ignorer les relations avec les employés ou à ne pas communiquer suffisamment avec eux. Par conséquence, le personnel se sentira à la fois démotivé, et en manquera de de dévouement et d’innovation, chose qui sanctionne la performance de l’entreprise progressivement en fonction du temps.
En ouvrant bien les yeux sur ce qui se passe aujourd’hui, on peut instinctivement adhérer au fait que la digitalisation est l’outil qui nous
accompagne du lever du jour, jusqu’à son soir. Pour cela, il ne sera bête de penser que l’être humain, à titre du personnel, est arrivé à développer une affection envers l’appareil numérique qu’il utilise. Etant un chef d’entreprise, et en se basant sur ce raisonnement, il parait que l’on doit se dépêcher pour introduire cet outil dans les milieux de travail, et ce pour optimiser le rapport manager-collaborateur en principe, en essayant ainsi de créer un lien fictif mais important sur le terrain, comme il est le cas des réseaux sociaux.
En effet, cette idée est déjà mise en œuvre, à travers des logiciels développés, comme les SIRH. Du coup, leur utilisation était à l’origine de plusieurs avantages, parmi d’autres on peut citer :
Un SIRH doté d’une interface de communication joue un grand rôle important dans la satisfaction de l’employé. Mise à part des options de chat ou les boites d’emailing, on peut parler d’autres éléments qui favorisent le bien être du collaborateur, comme les sondages d’humeur permettent de suivre sa motivation et son bien-être, ou également des jeux pour améliorer l’interactivité et le défi entre les collaborateurs. Tout cela contribue d’une manière ou autre à favoriser le lien de confiance et de loyauté vis-à-vis des leaders.
Les technologies numériques favorisent la flexibilité en toute sorte, en permettant aux managers de travailler à distance, du même pour les collaborateurs, et de se connecter avec les membres de l’équipe à tout moment et depuis n’importe quel endroit. Cela peut améliorer l’équilibre travail-vie personnelle et augmenter aussi l’esprit de solidarité pour une meilleure adhésion aux objectifs de l’organisation.
Les données numériques sauvegardés et disponibles en tout moment, peuvent servir d’aide à prendre des décisions plus éclairées par les leaders, en fournissant des informations précieuses sur les performances de l’entreprise et des membres de l’équipe. Les outils de DATA ANALYTICS peuvent également aider à identifier les tendances et les opportunités.
On peut se servir autant que manager des factures disponibles sur une SIRH, pour rendre hommage aux collaborateurs et les féliciter pour tout exploit réalisé, et ceci dans la plus simple des manières, et en quelques clics, exprimant ainsi votre impression par un émogi ou un message de toute brièveté. Cela peut paraitre très symbolique, mais psychologiquement parlant, on s’adresse au vif de la personnalité, pour créer une bonne impression chez le collaborateur, sinon, supprimer des stéréotypes qui peuvent constituer une barrière devant la créativité et l’innovation de ce dernier.